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NOTRE HISTOIRE

C’est en 1920 que René et Auguste Fayolle, originaires de la Creuse, rejoignent leur père Jean Fayolle maçon dans le nord de la France. Ils ne sont alors âgés que de 16 et 14 ans mais, comme beaucoup de maçons Creusois, ils quittent leur région à partir du printemps pour y retourner en hiver.

 

A cette époque de reconstruction du Nord Pas de Calais, conséquence de la première guerre mondiale, ils décident de créer leur propre entreprise artisanale à Ecoust Saint Meir dans cette région.

C’est en 1929 qu’ils déplacent l’Entreprise et s’installent en banlieue parisienne, à Soisy-Sous-Montmorency. Là, ils réalisent d’abord des travaux de clôture sous la marque Rafa (René Auguste Fayolle). Puis René décède brutalement en 1933. Auguste continue alors avec l’aide de sa sœur Marcelle et de son père Jean. C’est à cette époque que commence le développement réel de l’Entreprise. En 1954, Jean Fayolle, qui a donné son nom à l’Entreprise, décède.

Auguste ne sera pas longtemps seul à la tête de la société car ses deux fils Francis et Philippe viennent l’aider à partir de 1963. Cette nouvelle génération insuffle de la vigueur dans l’Entreprise. Pendant 15 ans, celle-ci va d’ailleurs connaître un fort développement grâce à la collaboration et à la bonne entente des deux frères : Philippe est en charge du matériel et Francis s’occupe surtout de la recherche de nouveaux travaux et des relations avec l’extérieur. Malheureusement, le décès de Philippe, dans un tragique accident de travail, interrompt cette fructueuse collaboration.

Pour Francis, resté seul à la tête de l’Entreprise, il y aura à nouveau dix années difficiles. Heureusement le constant soutien de ses collaborateurs et la perspective de l’arrivée de ses propres enfants l’ont conforté dans sa stratégie de développement. En complément, fidèle à ses origines creusoises, l’Entreprise a bien entendu gardé plusieurs activités dans cette région.

Aujourd’hui, l’entreprise Fayolle & Fils aborde l’avenir toujours animée par son esprit familial et sa volonté d’indépendance. Elle fait aussi sien, plus que jamais, l’adage selon lequel :

 

« Il n’est de valeur que d’hommes »

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